Chapka Assurances et les Éditions Nomades ont annoncé la sortie du guide Melbourne l’essentiel mercredi 1er mars. C’est la journaliste expatriée Audrey Bourget qui en est l’auteur. Dans cet ouvrage, la jeune femme nous livre tous ses bons plans afin de profiter à fond de Melbourne, une destination multiculturelle, inspirante et décalée.
Comment est né ce projet ?
« Autour d’un café » si l’on en croit la première page du guide…mais on ne sait pas s’il était bon. Plus sérieusement, comment une société spécialiste de l’assurance a-t-elle pu pénétrer le marché des guides de voyages papiers ?
Comme son nom l’indique, Chapka Assurances est un courtier en assurance. Spécialisé dans le voyage depuis 2002, ils assurent de plus en plus de jeunes Français à destination de l’Australie dans le cadre du très populaire visa Working Holiday (le PVT !). Toujours à l’affût d’idées originales (ils ont notamment financé le film Génération Expat des Coflocs), ils ont alors pensé à un guide de voyage dédié à Melbourne.
Pour la réalisation, ils ont fait appel aux éditions Nomades, une maison d’édition indépendante spécialisée dans le city-guide. Sa collection « l’essentiel » est désormais largement représentée dans nos librairies.
Que retrouve-t-on dans le guide Melbourne l’essentiel ?
Il y a déjà cette couverture qui attire l’œil ! Des couleurs vives qui viennent éponger un mur melbournien. C’est à n’en pas douter un hommage au street-art, tellement populaire à Melbourne qu’il est repris dans un chapitre tout entier.
Dans ce guide, il y a évidemment les balades, musées et monuments incontournables, mais aussi des chapitres plus personnels. Audrey Bourget nous parle de ses restaurants et bars préférés. Il y a même une liste des meilleurs brunchs et marchés de la ville ! Elle nous donne également des bons plans shopping et une liste de ses disquaires préférés.
Enfin, Audrey Bourget dresse le portrait de plusieurs expatriés, qui comme elle, arpentent jour après jour les rues de Melbourne.
Où acheter Melbourne l’essentiel ?
- Sur le site internet des éditions Nomades au prix affiché de 8,08 € TTC.
- A la Fnac, chez Cultura, Leclerc et dans toutes les bonnes librairies.
J’avais entendu dire qu’il n’y avait que l’employeur qui risquait quelque chose dans le cas d’une embauche non déclarée. On ne parle pas là de travailleur illégal, mais de quelqu’un en règle, qui a un visa permettant de travailler légalement (WHV) et qui se fait exploiter par un employeur non ?
Il y a plein d’exemples de mec qui embauchent en disant qu’il y aura un contrat, on régularisera plus tard, toussa… et qui finalement payent en cash et ne déclarent rien du tout. Pour moi ils sont en tord mais j’aimerais bien avoir une source juridique pour valider cela.
Bonjour Emile,
Effectivement nous parlons ici de personnes qui ont un visa working holiday mais qui choisissent de travailler au black auprès d’un employeur peu scrupuleux. Comme écrit dans le texte, il y aura des sanctions pour l’employeur mais il peut aussi y en avoir pour le travailleur. La législation stipule « The department encourages visa holders to comply with their visa requirements. Action against those who seriously breach these requirements can lead to possible visa cancellation and removal from Australia. » Autrement dit il peut y avoir une annulation du visa et une expulsion d’Australie. En ce qui concerne l’employeur : « Individuals convicted of these offences face fines of up to $13 200 and two years imprisonment while companies face fines of up to $66 000 per illegal worker. » J’espère avoir répondu à votre question ! A bientôt !
Bonjour Margot,
Ok, j’avais vu les même informations mais il me semblait qu’ils parlaient d’un travailleur illégal, à savoir un clandestin ou tout du moins une personne porteuse d’un visa ne lui permettant pas de travailler.
« Employing an illegal worker is a criminal offence » et de cela découle les sanctions citées.
Je ne suis pas moi même dans cette situation mais j’ai une amie qui après avoir essayé en vain d’obtenir un contrat auprès de son employeur se l’est vue refuser et est aujourd’hui payée en cash en dehors de toute législation. Cela étant, elle a besoin de ce travail pour vivre et je me demandais quel moyen de pression elle pourrait avoir vis-à-vis de cette situation. Est-ce que la bonne foi d’une dénonciation la mettrais hors de toute sanction type expulsion ?
Tu n’as peut-être pas la réponse et je devrais certainement aller voir un lawyer pour savoir ce qu’il en est exactement.
Merci pour la réponse en tout cas.
Bonjour Emile,
Je pense en effet qu’il est plus prudent de parler à un avocat de cette situation. Je ne peux pas vous donner de conseils type juridique. Merci de votre compréhension. Bon courage pour la suite.
Bonjour, je me suis expulsé d’Australie en 2012 avec un passage au centre de rétention de Sydney . J’ai été accusé d’avoir travailler au black alors que non , donc croyais moi il ne laisse rien passer. Sa fait 8 ans et je n’ose même pas demander un visa pour un pays ailleurs quand Europe.