Capitale de l’état d’Australie du Sud, Adélaïde est une ville cosmopolite et décontractée. C’est la première étape idéale de votre aventure australienne en visa vacances-travail. On vous explique pourquoi.
- Une ville à taille humaine. Avec 1.3 million d’habitants dans l’agglomération, Adélaïde est la cinquième ville d’Australie. Son centre-ville est facile à parcourir à pied ou à vélo (prêté gratuitement par la ville). En comparaison, Sydney accueille 5.25 millions de citoyens dans son aire urbaine (et en France, la zone Aix-Marseille fait 1.5 million et Lille 1 million).
- Une ville dynamique.
La grande artère North Terrace est un grand boulevard bordé d’arbres et de musées : le South Australian Museum et sa galerie dédiée à la culture aborigène, le MOD, un musée expérimental au design évolutif. A proximité, on retrouve aussi le centre national du vin. - Adélaïde est aussi une ville gourmande, adepte de la fusion food, concept mêlant différentes cultures gastronomiques du monde. Les innombrables restaurants qui jalonnent les rues de la ville et de ses environs en sont la preuve éclatante.
- La proximité de la plage. A moins de 30 minutes du centre-ville, allez vous baigner à Glenelg et Brighton Beach !
- Des opportunités d’emplois. L’hôtellerie et la restauration sont des secteurs très dynamiques en Australie du Sud et où les opportunités sont nombreuses tout au long de l’année. La cueillette et les vendanges sont des activités saisonnières, mais vous trouverez du travail toute l’année en Australie du Sud, en fonction des espèces de fruits et légumes récoltés, selon les saisons.
- Un coût de la vie moins élevé que dans les autres grandes villes. On estime qu’Adélaïde est 15 à 20 % moins cher que Sydney et environ 10 % moins cher que Melbourne.
- Une ambiance festive. Il y a d’innombrables événements comme le festival de musique WOMADelaide ou encore le Festival du film d’Adélaïde.
- Le repère des grands vins australiens.
Plusieurs régions viticoles se trouvent à proximité, à commencer par de petits vignobles s’étendant sur les coteaux des collines d’Adélaïde, ou ceux du McLaren Vale sur la péninsule de Fleurieu au sud.
Au nord, on gagne facilement la Barossa Valley, où sont produits des vins haut de gamme (Penfolds, St Hugo, Seppeltsfield…), puis la Clare Valley C’est l’occasion rêvée de travailler dans le secteur viticole (dans les vendanges, comme guide francophone, etc.) - Des loisirs en extérieur pour profiter des congés.
La péninsule de Fleurieu dispose de sublimes plages, parfaites aussi pour faire du surf. Si vous avez envie de faire du canoë, rendez-vous sur le fleuve Murray. Kangaroo Island est accessible facilement en ferry depuis Cape Jervis. - La proximité de l’Outback. Idéal pour rencontrer la faune : les wallaby des rochers à pattes jaunes, les émeus, les aigle royaux…
Et si vous débarquiez à Adélaïde pour commencer votre PVT Australie ?
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J’avais entendu dire qu’il n’y avait que l’employeur qui risquait quelque chose dans le cas d’une embauche non déclarée. On ne parle pas là de travailleur illégal, mais de quelqu’un en règle, qui a un visa permettant de travailler légalement (WHV) et qui se fait exploiter par un employeur non ?
Il y a plein d’exemples de mec qui embauchent en disant qu’il y aura un contrat, on régularisera plus tard, toussa… et qui finalement payent en cash et ne déclarent rien du tout. Pour moi ils sont en tord mais j’aimerais bien avoir une source juridique pour valider cela.
Bonjour Emile,
Effectivement nous parlons ici de personnes qui ont un visa working holiday mais qui choisissent de travailler au black auprès d’un employeur peu scrupuleux. Comme écrit dans le texte, il y aura des sanctions pour l’employeur mais il peut aussi y en avoir pour le travailleur. La législation stipule « The department encourages visa holders to comply with their visa requirements. Action against those who seriously breach these requirements can lead to possible visa cancellation and removal from Australia. » Autrement dit il peut y avoir une annulation du visa et une expulsion d’Australie. En ce qui concerne l’employeur : « Individuals convicted of these offences face fines of up to $13 200 and two years imprisonment while companies face fines of up to $66 000 per illegal worker. » J’espère avoir répondu à votre question ! A bientôt !
Bonjour Margot,
Ok, j’avais vu les même informations mais il me semblait qu’ils parlaient d’un travailleur illégal, à savoir un clandestin ou tout du moins une personne porteuse d’un visa ne lui permettant pas de travailler.
« Employing an illegal worker is a criminal offence » et de cela découle les sanctions citées.
Je ne suis pas moi même dans cette situation mais j’ai une amie qui après avoir essayé en vain d’obtenir un contrat auprès de son employeur se l’est vue refuser et est aujourd’hui payée en cash en dehors de toute législation. Cela étant, elle a besoin de ce travail pour vivre et je me demandais quel moyen de pression elle pourrait avoir vis-à-vis de cette situation. Est-ce que la bonne foi d’une dénonciation la mettrais hors de toute sanction type expulsion ?
Tu n’as peut-être pas la réponse et je devrais certainement aller voir un lawyer pour savoir ce qu’il en est exactement.
Merci pour la réponse en tout cas.
Bonjour Emile,
Je pense en effet qu’il est plus prudent de parler à un avocat de cette situation. Je ne peux pas vous donner de conseils type juridique. Merci de votre compréhension. Bon courage pour la suite.
Bonjour, je me suis expulsé d’Australie en 2012 avec un passage au centre de rétention de Sydney . J’ai été accusé d’avoir travailler au black alors que non , donc croyais moi il ne laisse rien passer. Sa fait 8 ans et je n’ose même pas demander un visa pour un pays ailleurs quand Europe.