Le visa Subclass 408 Covid est prolongeable 1 an !

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Le visa Subclass 408 Covid est prolongeable 1 an !

Vous êtes actuellement en Australie et votre visa Subclass 408 COVID-19 PANDEMIC EVENT va bientôt expirer ? Bonne nouvelle, vous pouvez le prolonger de 12 mois !

Pendant le pic de l’épidémie de coronavirus, le visa vacances travail traditionnel (Subclass 417) a été suspendu pour les voyageurs en provenance d’Europe. Pour éviter que les voyageurs européens déjà sur place ne rentrent sur le vieux-continent à la date d’expiration de leurs visas, le gouvernement australien a créé en 2021 le Subclass 408 COVID-19 PANDEMIC EVENT. Ce visa temporaire a donc permis aux Français et aux Belges de rester en Australie et de travailler dans des secteurs d’activité en forte pénurie de main d’œuvre, notamment l’agriculture.

Je suis en France, je veux partir en PVT Australie, quel visa demander ?

Le 15 décembre 2021, l’Australie annonçait la réouverture du Subclass 417 aux voyageurs en provenance de France et de Belgique. Si vous êtes en Europe et que vous souhaitez partir en Working Holiday en Australie, vous devrez demander le Subclass 417

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Je suis actuellement en Australie en visa 408 Covid, puis-je prolonger mon visa ?

Si vous êtes actuellement titulaire d’un visa Subclass 408 COVID-19 PANDEMIC EVENT qui est sur le point d’expirer, vous pouvez prolonger votre visa de 12 mois si vous continuez à travailler dans un secteur en tension : agriculture, industrie alimentaire, tourisme, hôtellerie, soins de santé, soins aux enfants, aux personnes âgées et handicapées.

Si vous ne travaillez pas dans un secteur en tension, que votre visa 408 va expirer mais que vous ne pouvez pas rentrer en Europe en raison de restrictions de voyage liées au COVID-19, vous pouvez prolonger votre visa 408 pour rester en Australie. C’est un cas très rare, autant le souligner !

La prolongation du visa 408 Covid est gratuite !

Je suis actuellement en Australie en visa Subclass 417 Working Holiday, puis-je prolonger mon visa ?

Oui, il faut cumuler au minimum 88 jours de travail dans un secteur et une région en pénurie de main d’œuvre pour obtenir un deuxième visa Subclass 417 et 179 jours de travail pour un troisième visa.

Le prolongation du visa Subclass 417 coûte 495 dollars australiens.

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Quelle assurance PVT Australie en Subclass 417 Working Holiday et en Subclass 408 Covid ?

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5 thoughts on “Le travail au Black

  1. J’avais entendu dire qu’il n’y avait que l’employeur qui risquait quelque chose dans le cas d’une embauche non déclarée. On ne parle pas là de travailleur illégal, mais de quelqu’un en règle, qui a un visa permettant de travailler légalement (WHV) et qui se fait exploiter par un employeur non ?
    Il y a plein d’exemples de mec qui embauchent en disant qu’il y aura un contrat, on régularisera plus tard, toussa… et qui finalement payent en cash et ne déclarent rien du tout. Pour moi ils sont en tord mais j’aimerais bien avoir une source juridique pour valider cela.

    1. Bonjour Emile,

      Effectivement nous parlons ici de personnes qui ont un visa working holiday mais qui choisissent de travailler au black auprès d’un employeur peu scrupuleux. Comme écrit dans le texte, il y aura des sanctions pour l’employeur mais il peut aussi y en avoir pour le travailleur. La législation stipule « The department encourages visa holders to comply with their visa requirements. Action against those who seriously breach these requirements can lead to possible visa cancellation and removal from Australia. » Autrement dit il peut y avoir une annulation du visa et une expulsion d’Australie. En ce qui concerne l’employeur : « Individuals convicted of these offences face fines of up to $13 200 and two years imprisonment while companies face fines of up to $66 000 per illegal worker. » J’espère avoir répondu à votre question ! A bientôt !

      1. Bonjour Margot,
        Ok, j’avais vu les même informations mais il me semblait qu’ils parlaient d’un travailleur illégal, à savoir un clandestin ou tout du moins une personne porteuse d’un visa ne lui permettant pas de travailler.
        « Employing an illegal worker is a criminal offence » et de cela découle les sanctions citées.
        Je ne suis pas moi même dans cette situation mais j’ai une amie qui après avoir essayé en vain d’obtenir un contrat auprès de son employeur se l’est vue refuser et est aujourd’hui payée en cash en dehors de toute législation. Cela étant, elle a besoin de ce travail pour vivre et je me demandais quel moyen de pression elle pourrait avoir vis-à-vis de cette situation. Est-ce que la bonne foi d’une dénonciation la mettrais hors de toute sanction type expulsion ?
        Tu n’as peut-être pas la réponse et je devrais certainement aller voir un lawyer pour savoir ce qu’il en est exactement.
        Merci pour la réponse en tout cas.

        1. Bonjour Emile,

          Je pense en effet qu’il est plus prudent de parler à un avocat de cette situation. Je ne peux pas vous donner de conseils type juridique. Merci de votre compréhension. Bon courage pour la suite.

          1. Bonjour, je me suis expulsé d’Australie en 2012 avec un passage au centre de rétention de Sydney . J’ai été accusé d’avoir travailler au black alors que non , donc croyais moi il ne laisse rien passer. Sa fait 8 ans et je n’ose même pas demander un visa pour un pays ailleurs quand Europe.

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