Le livre des Bestjobers sort le 14 mars 2018
Elisa Detrez et Max Coquard du blog Bestjobers sortent leur tout premier livre : « L’Australie nos 100 coups de cœur, l’aventure du Best Job In The world ». Elisa, c’est la fille qui en 2013 a remporté le concours Bestjobers. Organisé par Tourism Australia, ce concours international visait à offrir six jobs de rêve à des étrangers âgés de 18 à 35 ans. En toile de fond, cette initiative de l’office de tourisme aussie permettait également de promouvoir le visa vacances travail. En tout, on estime que plus de 330 000 personnes se sont inscrites au concours. Ils pouvaient devenir chief funster (festivalier professionnel), outback adventurer (pour rencontrer les aborigènes), park ranger (gardien de parc naturel), wildelife caretaker (soigneur de kangourous), photographe lifestyle à Melbourne et même taste master chargé de faire le tour des restaurants, des brasseries et des domaines viticoles.
Elisa, qui travaillait en France dans le web-marketing, a été embauchée comme Park Ranger dans le Queensland. Un contrat de six mois et 100 000 AU$ à la clé. Son compagnon Max a suivi, et une fois le contrat d’Elisa terminé, le couple a demandé un visa vacances travail pour continuer l’aventure australienne. Du coup, ils ont pu faire le tour de ce gigantesque pays. Ils nous concoctent désormais un super ouvrage avec les 100 choses à voir et à faire en Australie.
Au menu de ce super ouvrage publié par les éditions Nomades, on retrouve des animaux uniques, des bons plans randonnées, des plages de rêve et même des légendes aborigènes.
Vous voulez un peu de lecture ?
- Retrouvez le site d’Elisa et Max, Bestjobers
- Retrouvez le blog d’Elisa sur l’aventure australienne du Best job in the world
J’avais entendu dire qu’il n’y avait que l’employeur qui risquait quelque chose dans le cas d’une embauche non déclarée. On ne parle pas là de travailleur illégal, mais de quelqu’un en règle, qui a un visa permettant de travailler légalement (WHV) et qui se fait exploiter par un employeur non ?
Il y a plein d’exemples de mec qui embauchent en disant qu’il y aura un contrat, on régularisera plus tard, toussa… et qui finalement payent en cash et ne déclarent rien du tout. Pour moi ils sont en tord mais j’aimerais bien avoir une source juridique pour valider cela.
Bonjour Emile,
Effectivement nous parlons ici de personnes qui ont un visa working holiday mais qui choisissent de travailler au black auprès d’un employeur peu scrupuleux. Comme écrit dans le texte, il y aura des sanctions pour l’employeur mais il peut aussi y en avoir pour le travailleur. La législation stipule « The department encourages visa holders to comply with their visa requirements. Action against those who seriously breach these requirements can lead to possible visa cancellation and removal from Australia. » Autrement dit il peut y avoir une annulation du visa et une expulsion d’Australie. En ce qui concerne l’employeur : « Individuals convicted of these offences face fines of up to $13 200 and two years imprisonment while companies face fines of up to $66 000 per illegal worker. » J’espère avoir répondu à votre question ! A bientôt !
Bonjour Margot,
Ok, j’avais vu les même informations mais il me semblait qu’ils parlaient d’un travailleur illégal, à savoir un clandestin ou tout du moins une personne porteuse d’un visa ne lui permettant pas de travailler.
« Employing an illegal worker is a criminal offence » et de cela découle les sanctions citées.
Je ne suis pas moi même dans cette situation mais j’ai une amie qui après avoir essayé en vain d’obtenir un contrat auprès de son employeur se l’est vue refuser et est aujourd’hui payée en cash en dehors de toute législation. Cela étant, elle a besoin de ce travail pour vivre et je me demandais quel moyen de pression elle pourrait avoir vis-à-vis de cette situation. Est-ce que la bonne foi d’une dénonciation la mettrais hors de toute sanction type expulsion ?
Tu n’as peut-être pas la réponse et je devrais certainement aller voir un lawyer pour savoir ce qu’il en est exactement.
Merci pour la réponse en tout cas.
Bonjour Emile,
Je pense en effet qu’il est plus prudent de parler à un avocat de cette situation. Je ne peux pas vous donner de conseils type juridique. Merci de votre compréhension. Bon courage pour la suite.
Bonjour, je me suis expulsé d’Australie en 2012 avec un passage au centre de rétention de Sydney . J’ai été accusé d’avoir travailler au black alors que non , donc croyais moi il ne laisse rien passer. Sa fait 8 ans et je n’ose même pas demander un visa pour un pays ailleurs quand Europe.