C’est un livre coup de cœur. « Aborigènes, avec les derniers nomades d’Australie », écrit par Eddie Mittelette et publié par les éditions Transboréal, est un formidable témoignage sur la vie des aborigènes vivant en Australie.
Un livre captivant sur la culture aborigène en Australie
Eddie Mittelette va avoir quarante ans l’an prochain. Ce Caennais a découvert l’Australie pour la première fois en 2000 à l’occasion de la coupe du monde de boomerang ! Il découvre cette zone géographique qu’on appelle l’outback, soit l’arrière-pays australien, une terre semi-aride où vivent de nombreux « natifs »…bien loin des plages de sable fin de la Gold Coast. Il retourne en Australie cinq ans plus tard afin d’y séjourner une année entière. Avec sa compagne, il fait le tour du pays en van…25 000 bornes à travers tous les Etats (même la Tasmanie). Sa soif de découvertes est intarissable. Il espère rencontrer les peuples aborigènes mais la courte durée de son visa l’empêche d’approfondir son projet.
En 2008, il retourne à la coupe du monde de boomerang, qui se déroule cette fois-ci aux Etats-Unis. A la fin de la compétition, il s’envole vers Hawaï, puis vers la Nouvelle-Zélande qu’il découvre à vélo (4 000 km à la seule force des cuisses et des mollets). Il s’initie également à la fabrication artisanale de boomerangs (c’est décidément une passion). Depuis 2010, il enchaîne les allers-retours avec l’Australie et part à la rencontre des aborigènes avec son vélo. L’un de ses périples les plus incroyables remonte à 2013: il parcourt le Grand Désert de sable dans sa longueur, ainsi qu’une partie du désert de Gibson puis du Petit Désert de sable. Il rencontre les peuples suivants : Arrernte, Luritja, Pintupi, Martu.
Jeu concours – Remportez un exemplaire du livre !
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J’avais entendu dire qu’il n’y avait que l’employeur qui risquait quelque chose dans le cas d’une embauche non déclarée. On ne parle pas là de travailleur illégal, mais de quelqu’un en règle, qui a un visa permettant de travailler légalement (WHV) et qui se fait exploiter par un employeur non ?
Il y a plein d’exemples de mec qui embauchent en disant qu’il y aura un contrat, on régularisera plus tard, toussa… et qui finalement payent en cash et ne déclarent rien du tout. Pour moi ils sont en tord mais j’aimerais bien avoir une source juridique pour valider cela.
Bonjour Emile,
Effectivement nous parlons ici de personnes qui ont un visa working holiday mais qui choisissent de travailler au black auprès d’un employeur peu scrupuleux. Comme écrit dans le texte, il y aura des sanctions pour l’employeur mais il peut aussi y en avoir pour le travailleur. La législation stipule « The department encourages visa holders to comply with their visa requirements. Action against those who seriously breach these requirements can lead to possible visa cancellation and removal from Australia. » Autrement dit il peut y avoir une annulation du visa et une expulsion d’Australie. En ce qui concerne l’employeur : « Individuals convicted of these offences face fines of up to $13 200 and two years imprisonment while companies face fines of up to $66 000 per illegal worker. » J’espère avoir répondu à votre question ! A bientôt !
Bonjour Margot,
Ok, j’avais vu les même informations mais il me semblait qu’ils parlaient d’un travailleur illégal, à savoir un clandestin ou tout du moins une personne porteuse d’un visa ne lui permettant pas de travailler.
« Employing an illegal worker is a criminal offence » et de cela découle les sanctions citées.
Je ne suis pas moi même dans cette situation mais j’ai une amie qui après avoir essayé en vain d’obtenir un contrat auprès de son employeur se l’est vue refuser et est aujourd’hui payée en cash en dehors de toute législation. Cela étant, elle a besoin de ce travail pour vivre et je me demandais quel moyen de pression elle pourrait avoir vis-à-vis de cette situation. Est-ce que la bonne foi d’une dénonciation la mettrais hors de toute sanction type expulsion ?
Tu n’as peut-être pas la réponse et je devrais certainement aller voir un lawyer pour savoir ce qu’il en est exactement.
Merci pour la réponse en tout cas.
Bonjour Emile,
Je pense en effet qu’il est plus prudent de parler à un avocat de cette situation. Je ne peux pas vous donner de conseils type juridique. Merci de votre compréhension. Bon courage pour la suite.
Bonjour, je me suis expulsé d’Australie en 2012 avec un passage au centre de rétention de Sydney . J’ai été accusé d’avoir travailler au black alors que non , donc croyais moi il ne laisse rien passer. Sa fait 8 ans et je n’ose même pas demander un visa pour un pays ailleurs quand Europe.